vous êtes ici : accueil > DGFIP

Vos outils
  • Diminuer la taille du texte
  • Agmenter la taille du texte
  • Envoyer le lien à un ami
  • Imprimer le texte

DRFIP des Bouches-du-Rhône : « UBU ROI »

La dégradation des conditions de vie au travail des personnels de la DGFIP, liée principalement aux suppressions et vacances d’emplois, aux restructurations et à l’organisation du travail est un problème croissant dans les services de la DGFiP.

Stress, harcèlement, dépression, épuisement professionnel , suicides, autant de mots et de pratiques intolérables qui n’ont de cesse de se multiplier et que la CGT dénonce et combat.

Dans les Bouches-du-Rhône, voilà maintenant deux années consécutives que « l’état major » de la DRFIP alerte par l’intermédiaire de l’inscription dans le Document Unique des Risques Professionnels d’un risque psycho-social de niveau A (danger mortel) auquel ils sont confrontés :
« conflits ou harcèlements »de la part des organisations syndicales envers l’état major.

La direction locale, comme la Direction Générale pourtant bien informées du niveau de gravité de ce risque n’ont pourtant pris aucune disposition pour prévenir et mettre fin à ce « risque » intolérable auquel sont soumis ses cadres dirigeants.

Les représentants CGT au CHSCT local ont donc pris leurs responsabilités en alertant l’instance compétente CHSCT – par droit d’alerte prévu aux 5-5 à 5-7 du décret n°82-453 – pour faire cesser les dysfonctionnements amenant les « agents » à travailler dans de telles conditions, et en demandant l’ouverture d’une enquête prévue dans le cadre réglementaire.

Le syndicat national CGT Finances Publiques qui n’a eu de cesse depuis deux ans d’interpeller la Direction Générale de cette situation ubuesque soutient l’initiative de ses militants qui tentent par tous les moyens de sortir d’une situation intolérable, si elle n’est pas irresponsable, amenée par la DRFIP des bouches du Rhône.

Article publié le 12 octobre 2015.


Politique de confidentialité. Site réalisé en interne et propulsé par SPIP.